- EAN13
- 9782889089000
- Éditeur
- La Joie de Lire
- Date de publication
- 07/07/2014
- Collection
- Encrage
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - La Joie de Lire 13,70
Paris, 8 février 1962. A l’appel du PCF et d’autres organismes, un
rassemblement populaire est organisé pour dénoncer les agissements de l’OAS et
la guerre d’Algérie. Le rassemblement est interdit et le préfet donne l’ordre
de réprimer la manifestation. Huit personnes trouveront la mort. Christophe
Léon nous fait revivre cet événement tragique à travers les yeux d’un
adolescent de 16 ans. Daniel a perdu sa mère. Serviable et aimante, aux petits
soins pour « ses hommes », elle lui manque terriblement. D’autant que sa sœur
a quitté le domicile familial, n’en pouvant plus d’être traitée comme une «
boniche ». Daniel vit seul avec son père, Maurice. Ouvrier, communiste
convaincu, il est le mentor de son fils et initie Daniel à la politique. Mais
le 8 février, tabassé par les forces de l’ordre, Maurice tombe dans le coma…
Un texte profond, sensible, un magnifique portrait d’adolescent et une
peinture sociale sans concession de l’époque. La fin, inattendue, laissera le
lecteur sans voix.
rassemblement populaire est organisé pour dénoncer les agissements de l’OAS et
la guerre d’Algérie. Le rassemblement est interdit et le préfet donne l’ordre
de réprimer la manifestation. Huit personnes trouveront la mort. Christophe
Léon nous fait revivre cet événement tragique à travers les yeux d’un
adolescent de 16 ans. Daniel a perdu sa mère. Serviable et aimante, aux petits
soins pour « ses hommes », elle lui manque terriblement. D’autant que sa sœur
a quitté le domicile familial, n’en pouvant plus d’être traitée comme une «
boniche ». Daniel vit seul avec son père, Maurice. Ouvrier, communiste
convaincu, il est le mentor de son fils et initie Daniel à la politique. Mais
le 8 février, tabassé par les forces de l’ordre, Maurice tombe dans le coma…
Un texte profond, sensible, un magnifique portrait d’adolescent et une
peinture sociale sans concession de l’époque. La fin, inattendue, laissera le
lecteur sans voix.
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